viernes, 28 de enero de 2011

Des fois, le monde où tu vis te paraît étrange et tu ne veux autre chose que partir, partir loin, très très loin...là-bas où les problèmes n'existent pas, là-bas où tout le monde te dédie un sourire, là-bas où tu est toujours hereux.
Mais à mesure que tu avances avec l'invention de ton propre monde, tu te rends compte que ce monde, cet universe, cette île, n'existe pas.
Une fois que tu arrives à cette conclusion, il n'y a autre solution que te renfermer dans des souvenirs, des souvenirs que des fois n'existent même pas.
Donc tu commences à rappeler: tu rappeles des histoires, et tu rigoles, tu pleures, tu t'énerves: tu revis ta vie, une marveilleuse vie où il n'importe pas s'énerver, pleurer. Tu rappeles des soirées, des étés, des voyages, des sourires, des amours, des plages, des montagnes... tu rappeles tout ce qu'un jour t'avais fait rêver. Et tu te sens libre.
Mais quand tu retournes au monde réel, tout ce bonheur disparait. Oui, il disparait. Il disparait comme il peut le faire le feu d'une bougie dans une fête d'anniversaire.
Mais il faut continuer. Si on continue on aura plus de souvenirs pour nous réfugier dans le futur.


Des gros, gros kisses.

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